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Le Warwick Brussels, une institution bruxelloise très british

Anciennement Royal Windsor Hôtel, le récemment renommé Warwick Brussels fait clairement partie des « murs » du paysage hôtelier de la capitale. Son style anglais classique, sa localisation à quelques encablures de la Grand-Place et son Secret rooftop donnant sur l’Hôtel de Ville en font une adresse de choix, prisée autant par les stars internationales et les touristes du monde entier que par une clientèle professionnelle en quête de confort et d’équipement à proximité de la gare centrale. Construite en 1973 puis passée sous pavillon Warwick en 1981, cette institution n’a eu de cesse de faire évoluer son offre tout en conservant la personnalité du bâtiment originel. Un équilibre subtil détaillé avec David Sautaux, Directeur Régional Marketing.

Business la semaine, loisir le week-end

Si les bruxellois connaissent bien cette large façade en brique de la rue Duquesnoy, peu d’entre eux pourtant savent ce qui se cache derrière : « 267 chambres, 15 salles de réunions, un espace fitness, un restaurant, un chouette endroit pour prendre un brunch, des petits-déjeuners copieux et sur le toit l’un des plus beaux rooftop de la capitale ». Un équipement XXL parfaitement adapté pour toucher un large spectre de visiteurs qui, dans le cas du Warwick Brussels, est très clairement réparti, « du séjour business la semaine et du tourisme loisir le week-end ». Pour l’exclusif le Warwick Brussels dispose de 20 suites, “gros atout pour recevoir des délégations”, dont un joyau, la suite Grand-Place, un appartement penthouse de 400m2 doté d’une immense terrasse. Tout au long de l’année, ce luxe est chahuté par une politique évènementielle originale, « qui donne une personnalité à l’établissement ». Ce fut notamment le cas en 2021 quand le Warwick accueillait en résidence le restaurant « Dans le noir ?» ou quand, plus récemment, il proposait des ateliers de peinture ou des workshops de yoga sur son rooftop.

“Trouver le juste calibrage entre contact numérique et accueil physique”

Contraint, comme l’ensemble du secteur hospitalité, de s’adapter aux nouveaux comportements et à une clientèle « parfois plus à l’aise à communiquer sur les réseaux sociaux qu’avec le personnel de l’hôtel », le Warwick Brussels numérise son parcours client. Chatbot sur le site internet ou encore application de room-directory, garder le contact avec le client tout au long de son séjour est devenu une nécessité concurrentielle, « même si nous sommes convaincus qu’aucun outil numérique ne remplace un sourire». Autre spécificité qui se fait de plus en plus rare, tous les services proposés sont internalisés, « ce qui permet un contrôle précis de la qualité des prestations mais aussi de l’agilité face à une clientèle de plus en plus last-minute. »

De la durabilité tous azimuts

Pour rester dans l’air de son temps, le Warwick Brussels est en perpétuel rajeunissement, « par petites touches » pour ne pas perturber les clients. Chaque décision permettant de mettre dans la balance la nouvelle équation de la durabilité. Ainsi, “par petites touches”, les leds remplacent les ampoules, les 100 places de parking s’équipent également de recharges électriques, les douches d’économiseurs d’eau, la carte du restaurant fait le plein de produits locaux … « Une thermo-capture des déperditions de chaleur du bâtiment a même été réalisée pour améliorer l’isolation ». Cette volonté de changement est très bien reçue par les visiteurs et particulièrement par la clientèle business dont les entreprises ont elles aussi déjà engagé des démarches éco-responsables. “C’est même devenu un véritable critère de choix”. Preuve supplémentaire, s’il en fallait une, que l’hôtellerie de luxe peut aussi parfaitement s’accorder avec les nouvelles exigences environnementales de sa clientèle.